Issus de la Brigade d’Investigation Spéciale (BIS), quatre sous-officiers de la Gendarmerie Nationale du Mali dont une femme participent à cette formation spécialisée qui se déroule du 14 au 18 mai.

« L’aveu ne constituant plus à elle seule la meilleure des preuves », le but de la simulation est de découvrir des traces papillaires sur des objets trouvés sur la scène de crime pour orienter l’enquête. Il faut ensuite procéder à la révélation de ces traces en utilisant des poudres dactyloscopiques pour la recherche de traces latentes puis enfin analyser ces traces. Le travail des stagiaires se poursuit avec les formalités anthropométriques, c’est-à-dire procéder à la signalisation d’un individu suspect et enfin procéder à la comparaison de la trace trouvé sur la scène de crime avec l’empreinte digitale du suspect.

Tous les moyens sont mis à la disposition des stagiaires pour leur permettre de mieux exercer les aspects théoriques de la formation.

Par ailleurs, EUCAP Sahel Mali soutient la BIS à travers plusieurs autres formations notamment dans les domaines du renseignement ou du contre-terrorisme.

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