L’Union européenne, les Nations unies, les États-Unis et l’Égypte - le pays le plus directement touché par la violence terroriste et les combats dans la région - se sont réunis hier pour débattre de la situation en Libye en marge du sommet contre l’extrémisme violent (Counter Violence Extremism Summit), sous l’impulsion de l’UE.
Toutes les parties prenantes autour de la table ont fermement soutenu M. Bernardino León, représentant spécial des Nations unies pour la Libye, pour le rôle de médiateur qu’il a joué en vue de mettre sur pied un gouvernement d’union nationale que la communauté internationale est prête à appuyer dans la lutte contre Daech. Toutes les parties ont décidé d’assurer une coordination constante entre elles afin de définir ensemble les prochaines mesures à prendre.